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mes états d'âme

31 octobre 2012

Je suis au bout du gouffre.

Ne plus manger, me gaver, détester tous les aliments que je peux voir et puis finalement les aimer plus que tout au monde. Cette envie de dégoût qui ravage mon corps, lorsque je mange et lorsque je ressens cette souffrance au fait que je ne suis pas belle et surtout énorme.  Sont tous des choses que je ne sais plus comment gérer. Mon était psychologique joue encore plus sur ma perception des aliments, mes comportements face à mon alimentation et sur mon bien être. Cela fait plusieurs jours que je ne mange plus, du moins je mange presque uniquement que trois tomates et boit une bouteille de jus par deux ou trois jours. J'ai encore bien du mal à garder tous ses aliments en moi, car à la simple pensée négative de ma souffrance de tous les jours, je ne peux m'empêcher de ressentir du dégoût qui fait que par la suite tout resort sans même que je m'en suis rendu compte. Pourtant je me sens tellement mieux après cela. Je ne comprends pas, pourquoi j'agis comme cela. Souvent lorsque je n'allais pas bien avant, la nourriture était ma meilleure amie. Je ne pouvais m'empêcher de me gaver de tous, dans ses moments-là j'adorai extrêmement tout ce que je voyais. Je ne pouvais plus me contrôler. Cela finissait toujours, par resortir et mon était était pire. Maintenant, peut-être c'est parce que j'ai perdu le goût à la vie, que je suis malheureuse, que j'ai perdu la lumière dans mes jours sombres que tout à changé. Je ne mange presque plus, je ne ressens plus la faim, je ne veux plus rien ressentir de toute manière je ne peux plus rien ressentir. Manger pour moi est devenu comme aimer.. J'ai perdu l'amour comme j'ai perdu la faim. Je ne comprends pas ce lien, mais on dirait que mon corps lui le comprend. Cette pulsion de tout revomir ce que je mange, de faire semblant d'aimer manger devant les gens quand en réalité tout ce que je veux c'est de tout recracher. Je crois vraiment que je suis dans un début d'une longue période noire de ma vie.. Dans la quelle je me sens perdue et seule... Dans ce labyrinthe sans fin de ma douleur..

 

 

 

Ne peux-tu pas revenir près de moi.. m'aimer comme tu le faisais..?

Cette amour détruit à déclancher ce long suicide de ma vie..

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5 septembre 2012

I wish that I could see you again I know that I can't

C'est étrange que même après tout ce temps je suis tout de même capable de me rappeler exactement tout de nous deux. J'avais la peur de tout oublier, que mes souvenirs avec toi disparaissent comme s'il n'y avait jamais rien eu, qu'ils disparaissent comme toi tu es parti, d'un simple claquement de doigt. Que je ne me rappelle plus de ta voix, de ton visage, que je n'ai plus aucun souvenir de toi puisque je ne pourrais plus te revoir. Je pensais honnêtement, lorsque je t'ai connu, que nous deux nous allions avoir une amitié solide qui aurait durer plus longtemps que cela. On était heureux ensemble il me semble.Je me rappelle que l'on était toujours ensemble, on était toujours là l'un pour l'autre, on se comprennait, c'est comme si l'on se complètait. Tu éloignais tout le négatif qu'il y avait en moi et tu trouvais toujours une façon pour que j'aille mieux, que je puisse sourir. Je sais à quel point tu aimais ça me voir sourir, même si j'ai jamais compris ce que tu trouvais de beau là-dedans. Je me demande est-ce que tu étais heureux au fond? Tu voulais tellement que moi je le sois que j'ai l'impression que ton bonheur ne comptait pas.. j'aurais du voir que quelque chose n'allait pas, moi aussi je n'allais pas bien et tu me donnais l'impression que de ton côté tout allait bien, même avec tout ce qui se passait de pas le fun avec ta famille. Tu me disais que ce n'était pas grave, que ça allait s'arranger, qu'il ne fallait pas s'en faire et tout de suite après tu me bonbardais de questions pour savoir si moi j'étais bien, comme si l'important c'était moi avant tout. Tu savais que j'étais là pour toi, je voulais que tu te confis à moi, j'aurai voulu t'aider, te comprendre. Pourquoi tu ne m'as pas laisser cette chance? Pourquoi j'ai rien vu? Pourquoi tu m'as laissé toute seule? Tu n'as pas pensé à moi cette fois-ci. Toi qui voulait mon bonheur avant tout, tu n'avais pas pensé à tout le mal que ton départ m'aurait fait? À quel point je serais détruite? Tu étais tout pour moi, mon seul vrai et meilleur ami, mon confiant, en quelque sorte ma raison. Pourquoi t'es parti si soudainement ? Même après presque 5 ans je me demande toujours pour quelle raison tu es parti. Tes parents? Comment on te traitait? Les amis? L'amour? Problèmes personnelles? pleins d'hypothèses me viennent en tête mais je ne peux mettre le doigt sur la vrai réponse du pourquoi. Qu'est-ce qui a fait en sorte que tu en sois venu à te suicider? À quoi pensais-tu à ce moment? Le pire c'est que le sois où tu es parti nous étions supposé nous voir mais finalement je ne pouvais plus à cause je n'avais pas de transport et comme tu le savais j'avais la peur bleu de prendre l'autobus et de me perdre même si c'était pas si compliqué que ça se rendre où tu habitais. Je m'en veux, parce que je ne sais pas si le fait que je ne pouvais plus venir qui a causé ça.. C'était peut-être la goute qui a fait déborder le vase, je ne sais pas. Quand j'ai appris que tu étais mort, c'est comme si mon coeur avait cessé de battre et soudainement je ne ressentais plus rien. J'avais l'impression que tout mon intérieur était paralysé, que tout se détruisait. J'avais arrêté de parler, je ne pouvais plus, j'avais perdu tout sens, j'étais perdu, je ne comprennais pas, je ne comprends pas. La culpabilité, la rage, le désespoir, la honte, la tristesse habitaient mon corps. Je me suis isolée, je ne parlais plus à personne. J'avais l'impression que plus personne ne pouvait me comprendre, il y avait que toi. Si tu n'étais plus là, il n'y aurait plus personne. Ça sevait à quoi d'avoir des amis, construire de quoi avec ceux-ci, si c'est pour se terminer comme ça sans pré-avis. Ça fait juste du mal. J'ai jamais accepté ton départ, malgrès les avis de marde de mes psy qui n'ont pas l'air de comprendre que ça se fait pas comme ça guérir de la perte de quelqu'un. J'avais l'impression qu'ils me forçaient à t'oublier, à t'enlever de ma vie. Jamais je laisserai quelqu'un prendre ta place ou de même t'enlever de ma tête. J'essai de rester forte maintenant, je garde tout pour moi, on dirait que c'est plus facile. Mais t'es toujours là et tu seras toujours là..

 

Tu me manques à en crever. 

28 juillet 2012

évacuation.

Après avoir passé une semaine de marde où j'avais uniquement le goût de tout laisser tomber parce que je ressentais une immence tristesse ainsi qu'un mélange de colère, j'ai l'impression que rien n'a changé. J'ai pourtant passé une belle soirée avec des personnes qui me tiennent à coeur et qui me manquaient, mais j'ai l'impression que mon bonheur n'a duré qu'un court instant et ça me fait chier en quelque sorte. Je ne comprends pas pourquoi je suis incapable d'être heureuse plus longtemps qu'un court instant. Pourquoi je ne suis pas capable d'apprécier la vie comme elle est sans me trouver sans cesse des choses qui viennent me la rendre laide? On dirait que j'aime presque cela souffrir, avoir mal de l'intérieur et de ne pas être heureuse, pourtant tout ce que je veux c'est d'être heureuse et d'être capable de m'aimer.Je crois que la source du pourquoi je ne me sens pas bien dans ma peau c'est que je veux être parfaite. Intérieurement j'ai énormément de pression. Je suis consciente que je vise plus haut que ce que je devrais et que jamais je pourrais être physiquement ce que je voudrais être. Mais dans ce cas, je ne suis strictement pas comment je pourrais être heureuse si je ne peux être celle que je voudrais être..

 

 

 

12 janvier 2012

Crise d'épilepsie + Tentative.

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** Ih la la, je me rappelais déjà même pu que j'avais fais un blog. J'vais surement commencer à poster plus souvent, même si il y a uniquement moi qui va lire, au pire je m'en fou.

Je me rends compte que depuis un mois, il s'est passé beaucoup de choses. J'avais refais une crise d'épilpesie, vers le milieu du mois de décembre. Ce qui a fait en sorte que j'ai du augmenté ma dose de keppra. Je me suis remise de ma peine d'amour avec mon ancienne amoureuse, du moins je crois. Je n'arrête pas de ne dire cela, mais est-ce que je le pense vraiment, je n'en sais rien. Je veux croire que je suis meilleure sans elle et je le sais que je le suis.

Pour commencer, le 22 décembre, suite à un événement, j'ai fais une tentative de suicide. Encore à cause d'elle, encore au fait qu'elle ne fait que me détruire. J'ai enfin compris ce soir là, la cause du '' j'ai besoin de temps pour moi''  qu'elle prennait comme excuse pour ne plus me voir. Dans le fond ce n'était qu'une mascarade pour aller voir son prétendant qu'elle fréquentant pendant que je sortais avec elle. Je comprends maintenant pourquoi durant presque trois mois elle ne voulait pas me voir, qu'elle me parlait plus du tout, elle était avec lui. Pathétique, elle aurait pu au moins me le dire au lieu de me faire attendre comme une conne en pleure, parce qu'elle me manquait et parce que je l'aimais trop. J'aurais du écouter ma tête, durant la dernière fin de semaine de septembre, lorsqu'elle l'a vu. Tout à commencé à aller de façon bizarre, plus aucune de carresses, plus aucun de bisou, plus de aucun mots doux. Notre relation était devenue froide et distante. Lorsque j'étais avec elle, elle ne faisait que texter et lorsque je lui demandais à qui elle écrivait et que je tentais de voir, elle se tournait rapidement et me citait un nom random. Quand je savais très bien qu'elle lui écrivait. J'avais des doutes sur les sentiments que ce gars là éprouvait pour elle, alors je lui en ai fais par, car j'en faisais des crises d'anxiété, je ne voulais pas la perdre. Elle me disait qu'il ne l'aimait pas, qu'elle ne l'aimait pas, que c'était moi qu'elle aimait. Drôle de façon d'aimer quelqu'un en lui cachant tout sur sa vie, lui mentir sur tout, lui jouer dans le dos. Quand j'ai appris qu'elle était en couple avec lui. J'ai comme perdu le cap. Je ne savais plus quoi faire, mon coeur commençait à battre terriblement fort que j'en avais des nausées. Tout ce que je voulais c'était de partir, c'était beaucoup trop après tout ce que j'ai vécu à cause d'elle. J'avais trop mal, j'ai donc décidé d'avaler tous mes médicaments. Je ne m'en souviens pas vraiment combien j'en avais pris, mais mon pot était vide à moitié. J'ai vite sentis certains effets secondaires. Je n'allais vraiment pas bien.. Je ne me rappelle plus trop ce qui c'est passé par la suite. Mais je sais que mon amie, puisqu'elle était inquiète a appeler la police. Ceux-ci sont venu à ma demeurre et m'ont retrouvés agonisante dans mon lit, les jambes pleines de sang, puisque j'avais recommencé à me couper...

On m'a transporté au CHUL dans le coin psychiatrique, puisque j'avais fais une tentative de suicide. Si j'avais pris une ou deux pilules de plus, j'aurais pu mourir d'overdose, d'après ce que j'ai appris. Enfin bref, j'ai rencontré une phychiatre, des intervenants, passé des tests phychiatriques pour examiner mon état. J'étais tannée, je me sentais faible de ne pas avoir réussi à me tuer, quand c'était tout ce que je voulais. Le premier jour passé à l'hôpital, j'ai vraiment dis ce que je pensais vraiment. Que je voulais mourir pour vrai et que c'était ce que je voulais encore. Si c'était comme ça que je pensais sortir je m'étais trompée. J'ai du dormir le 23 au soir encore à l'hôpital. J'aurais préféré être n'importe où, partout ailleurs sauf à l'hôpital. Je me sentais pas bien, je me sentais pas normale, j'avais l'impression d'être une folle. Il y avait des jeunes comme moi qui était dans le même niveau que moi, et ils me faisaient peur. Une entre autre, qui était agressive et que l'on devait d'attacher sur son lit, pour ne pas qu'elle frappe un infirmier ou un truc du genre. J'ai commencé à me poser plein de question, si j'étais folle, pourquoi j'étais pas morte, qu'elle avait gagné sur moi et qu'elle avait fait en sorte que je manque mon coup pour qu'elle continue à me pourire la vie. Je n'ai point dormis de la nuit. Le lendemain, je devais attendre mon psychiatre pour qu'elle me permette de partir, puisque j'ai décidé de coopérer et que je ne voulais pas rester le veille de noël dans cet batisse de merde. Par soulagement, elle m'a permit de quitter les lieux, après une rencontre avec elle et une intervenant de sos suicide une truc comme cela. Je leur ai dis que je ne voulais plus mourir, que je ne pensais plus à ça que c'était vrai. ( évidemmement que je mentais..). Durant les premiers jours que j'ai sortie de l'hôpital, les personne de sos suicide je sais pu quoi n'arrêtais pas de m'appeler, mais je ne répondais pas, je ne voulais plus penser à cela. Ils ont appelés sans cesse durant trois jours, pour enfin me foutre la paix.

En revenant chez moi, je me suis rappelée que je lui avais écris un message texte le soir que j'ai appris qu'elle m'avait trompé. Je lui avais dis '' Je savais que tu finirais avec lui.. pourquoi tu ne me l'as juste pas dis... après tu oses tenter de revenir vers moi après trois mois d'absence, c'est louche..  en tout cas, tu m'as tué véritablement tué. Tu peux pas savoir tout le mal que j'éprouves en dedans de moi, combien j'ai de rage envers moi-même de t'avoir cru. En tout cas, dorénavant tu n'entendras pu jamais parler de moi, puisque je vais tout simplement disparaître de ce monde, j'en suis plus capable... adieu'' Après j'ai fais ma tentative.. et elle ne m'a jamais répondu depuis.. C'est à ce moment-là que je me suis rendue compte qu'elle en a rien à faire de moi.. après 1an et 8 mois comment peut-elle oublier tout ce que l'on à vécu.. et d'ailleurs le 7 Février cela aurait fait 2 ans moi et elle. Je ne sais pas pourquoi je compte encore nos mois comme si l'on était encore ensemble..

9 décembre 2011

Tumeur au cerveau + Épilepsie.

Lorsque j'avais sept ans, j'ai eu une tumeur au cerveau, plus précisément au lobe temporal droit. À cet âge là, je ne m'en étais pas rendu compte que cela pouvait autant m'affecter dans ma vie futur. Durant deux ans, j'ai vécu avec cette maudite merde dans ma tête, parce que ça l'a pris tout ce temps-là pour qu'un foutu médecin se rend compte que quelque chose ne fonctionnait pas. On ne pouvait pas m'opérer puisque la tumeur était devenue trop ample (Je me demande pourquoi elle était devenue aussi grosse en..) alors je devais faire de la chimiothérapie, ainsi que de la radiothérapie. Au bout de ses deux ans, j'ai combattu ce cancer. Les médecins me disaient que tout allait mieux aller, que je n'allais pas avoir de séquelles permanentes. Durant un long moment tout allait bien, comme ils me l'avaient dis.

Mais lorsque j'ai eu treize ans, tout à recommencer à aller mal. Je commençais à ravoir des maux de tête atroces et l'effet que cela me faisait était inexplicable. Je me sentais mal, bizarre, on dirait que je n'étais plus moi, lorsque les gens me parlaient j'entendais au ralentit et ma vision se brouillait. C'est ce que cela me faisait quand j'avais ''un malaise'' comme j'appelais ses maux de tête. J'ai recommencé à passer des IRM et des TACO, mais les résultats ne démontraient rien de concluant. Je pensais que je devenais folle, que j'inventais tout cela, parce que personne ne pouvait être sûr que ce que je vivais était fake ou non. Et d'ailleurs, ses malaises n'arrivaient guère souvent, alors on ne pouvait rien faire. Ce fut comme cela durant un méchant bout, soit presque quatre ans. J'avais passé une électroencéphalogramme, mais puisque j'avais déjà subi quelque chose à la tête les résultats ne con-cordonnaient pas. Ils me disaient que c'était sans doute ma lésion laissée par ma tumeur qui pourrait causer mes malaises.

Cependant, tout est devenu clair depuis la semaine passée, lorsque j'ai eu un autre ''malaise'' durant mon sommeil. C'est à ce moment-là que j'ai su ce que j'avais toujours eu, mais qui ne c'était jamais manifesté aussi fortement depuis que je suis née. Mes malaises étaient en effet des symptômes de crises d'épilepsie. Je ne comprends pas pourquoi les médecins ne s'en sont pas rendu compte plus tôt. Je ne sais pas, je ne connais pas grand-chose sur ça, mais ça me fait peur, j'aurais pu mourir si j'aurai été seule lorsque cela m'étais arrivé. Déjà que je ne me rappelle plus de ce qui s'était passé. En gros, je ne rappelle que j'étais avec mon amie et qu'il était environ 4:15pm lorsque je me suis endormis et que je me suis réveillée environ 45 minutes plus tard avec deux ambulanciers près de moi. Je ne comprenais pas ce qui s'était passé, je n'aimais vraiment pas ça. Et j'ai appris que lorsque l'on a une crise d'épilepsie, par la suite on ne se rappelle de rien. D'après mon amie, je commençais à respirer fortement, je bavais, je tremblais comme ça ne se peut pas et que lorsque mon père est rentré dans ma chambre, que j'étais vitrée. Mes yeux étaient ouverts et mes pupilles bougeaient de tous les sens. J'entendais la voix des gens à l'entour de moi, mais j'étais incapable de répondre, comme si mon corps était paralysé. On m'a transporté à l'hôpital par la suite, on pensait que j'avais pu faire un overdose de je ne sais pas quoi, alors ils m'ont fais des prises de sang, je capotais ma vie parce que j'ai peur à mort des seringues... ça m'écoeure. En tout cas, j'ai passé la nuit aux soins intensifs et le lendemain aussi. Le neurologue m'a effectivement confirmé que je souffrais d'épilepsie... Je me suis fais prescrire des médicaments dont le nom est '' Levetiracetam'', médicaments que je devrais prendre toute ma vie, pour combattre mes crises d'épilepsie. J'ai encore de la difficulté à accepter ce qui m'arrive.. Mais le temps arrange les choses non..? Peut-être qu'avec le temps je vais mieux accepter la situation..

 

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